Comme annoncé et attendu ce mardi 02 avril 2024 a vu les travaux du Dialogue National inclusif s’ouvrir par une somptueuse et solennelle cérémonie qui à jamais sera marquée dans le marbre de l’histoire du Gabon.
Le palais des sports de Libreville a été pris d’assaut par une véritable marée humaine. À croire qu’aucun gabonais ne voulait manquer ces instants mémorables.
Tout y était solidarité enthousiaste, communion fusionnelle et émotion vibrante.
Faste et somptuosité étaient en harmonie parfaite avec la prestigieuse présence du Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema qui avait à ses côtés son homologue Centrafricain Faustin Archange Touadéra.
L’atmosphère et l’ambiance avaient de manière marquée une fusion fraternelle qui laissaient transparaître un Gabon retrouvé, uni et fier.
Le clergé dans toutes ses composantes confessionnelles est au directoire de ce Dialogue National inclusif.
Et les différentes adresses faites allaient dans le sens que l’issue des travaux devraient opérer la génèse d’une renaissance d’un Gabon de droit, de justice, de solidarité par une gouvernance exemplaire et vertueuse.
Ces thèmes ont été développé avec responsabilité et conviction par le Chef de l’État le Général Oligui Nguema et le Monseigneur Jean Patrick Iba-ba.
Oligui Nguema a appelé à l’édification d’un Gabon nouveau qui sera à tout jamais débarrasser des scories d’hier. La responsabilité de léguer pour la postérité un pays plus juste sera la mission du bureau a répondu en écho le Monseigneur Jean Patrick Iba-ba .
Devant L’assistance nombreuse, le Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema a promis et affirmé qu’il transformera en textes les décisions du Dialogue National.
Les moments de réjouissances de ces assises ont vu la prestation de l’icône de la musique gabonaise Pierre Claver Akendengué qui a électrisé invités et participants et que dire de la maestria et surtout de ce retour inattendu d’André Pépé Nzé dont le classique titre « NDZAL » porte la symbolique et la philosophie qui cadre avec la circonstance.
Toutes choses qui ont fini par émouvoir de façon touchante et humaine le Général Oligui Nguema et par la suite comme une sensation contagieuse le titre « libérer la liberté » a fait chavirer le tout palais des sports. Le Prince Martin Rompavet n’était pas en reste mais plutôt bien en verve en chantant son ode à la démocratie.
Les gabonaises et les gabonais ont un mois pour confectionner et écrire une page nouvelle qui viendra consacrer un véritable état de droit tel que souhaité par tous