Alors que le bureau de la fédération gabonaise de tennis de table (FGTT) devait renouveler son bureau le 30 décembre 2023 après plusieurs reports et plusieurs années d’attente dus à certaines incompréhensions entre membres, cette assemblée générale élective a été boycottée par une partie d’acteurs de la discipline, qui ont aussitôt constitué un comité ad hoc sans aucune valeur juridique.
Les déboires de ce comité ad hoc, mise en place par les frondeurs de la présidente sortante, composé à 90 % des personnes ayant servi au sein de cette fédération depuis plus de trente ans, commence par le pouvoir substitué à celui qui est considéré comme secrétaire général de cette fédération, mais qu’il est tout simplement de nom, ne disposant aucun document administratif lui donnant son droit d’exercer à la fonction. Après vérification, Thierno Ndong Effare , occupe le poste de chargé d’organisation 2, la fonction de secrétaire général provisoire lui aurait été confiée sans aucune note administrative après le départ de l’inspecteur des sports Nicolas Bekale Bé Ndong. Ce qui prouve à suffisance son illégitimité à porter sa signature sur les documents administratifs et sur son pouvoir à gérer d’une manière transitoire le bureau fédéral.
Ce comité ad hoc, constitué sans aucune référence juridique après lecture du rapport rendu public par Thierno Ndong Effare, compte dans son sein des présidents des ligues dont les mandats ne sont plus valides, devrait être composé des personnes neutres ayant comme véritable mission de recenser les ligues actives en se basant sur les rapports d’activité que détient des directions provinciales de sports, ensuite faire un travail d’enregistrement des clubs actifs, car la fédération internationale de cette discipline accorde plus d’importance aux clubs qu’aux ligues. Ensuite organiser les élections.
À l’allure ou vont les choses, on se dirige vers une crise profonde qui conduirait à de grandes sanctions au niveau national et international. Le comité national olympique que dirige désormais dirigé par Crésant Pambou ,n’a pas retardé à taper la main sur table, elle aurait suspendu la FGTT de toutes les activités du CNOG.
Affaire Tennis de Table : Un comité ad hoc sous forme d’excès de zèle.Alors que le bureau de la fédération gabonaise de tennis de table (FGTT) devait renouveler son bureau le 30 décembre 2023 après plusieurs reports et plusieurs années d’attente dus à certaines incompréhensions entre membres, cette assemblée générale élective a été boycottée par une partie d’acteurs de la discipline, qui ont aussitôt constitué un comité ad hoc sans aucune valeur juridique.Les déboires de ce comité ad hoc, mise en place par les frondeurs de la présidente sortante, composé à 90 % des personnes ayant servi au sein de cette fédération depuis plus de trente ans, commence par le pouvoir substitué à celui qui est considéré comme secrétaire général de cette fédération, mais qu’il est tout simplement de nom, ne disposant aucun document administratif lui donnant son droit d’exercer à la fonction. Après vérification, Thierno Ndong Effare , occupe le poste de chargé d’organisation 2, la fonction de secrétaire général provisoire lui aurait été confiée sans aucune note administrative après le départ de l’inspecteur des sports Nicolas Bekale Bé Ndong. Ce qui prouve à suffisance son illégitimité à porter sa signature sur les documents administratifs et sur son pouvoir à gérer d’une manière transitoire le bureau fédéral. Ce comité ad hoc, constitué sans aucune référence juridique après lecture du rapport rendu public par Thierno Ndong Effare, compte dans son sein des présidents des ligues dont les mandats ne sont plus valides, devrait être composé des personnes neutres ayant comme véritable mission de recenser les ligues actives en se basant sur les rapports d’activité que détient des directions provinciales de sports, ensuite faire un travail d’enregistrement des clubs actifs, car la fédération internationale de cette discipline accorde plus d’importance aux clubs qu’aux ligues. Ensuite organiser les élections.À l’allure ou vont les choses, on se dirige vers une crise profonde qui conduirait à de grandes sanctions au niveau national et international. Le comité national olympique que dirige désormais dirigé par Crésant Pambou ,n’a pas retardé à taper la main sur table, elle aurait suspendu la FGTT de toutes les activités du CNOG. Affaire à suivre…
Ulrich Sima Corso