La candidate du groupe EDS/PDCI, Fleur Esther Aké, lors des élections législatives de mars dernier à qualifié ce jeudi « d’infamie », le jugement rendu par le Conseil constitutionnel mercredi.
« Nous nous attendions à ce que le Président et les juges siègent pour délibérer et vider le contentieux mais nous sommes surpris comme vous d’apprendre par les médias la décision du Conseil Constitutionnel. De report en report, le RHDP a réussi à tordre le cou à la Loi », a-t-elle introduit dans un post intitulé » L’infamie prévue a quand même eu lieu…… ».
Le Conseil constitutionnel a rejeté la requête Fleur Mbo portant sur l’annulation de la victoire de Adama Bictogo dans la circonsconcription d’Agboville commune.
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« Nous doutions certes de la partialité du Conseil Constitutionnel mais nous nous sommes légitimement dit que l’ampleur des irrégularités permettrait, à défaut de déclarer un vainqueur, d’ordonner au moins par un sursaut de lucidité et un élan d’indépendance, la reprise de l’élection comme notre requête le recommandait. Pour une question d’éthique en politique, nous espérions que le DROIT soit dit. Hélas ! « , a poursuivi la candidate de EDS/PDCI.
Pour mademoiselle Aké M’bo : « Désormais à Agboville on sait qui est qui et on sait surtout ce que chacun pèse politiquement. Un homme politique, sans base électorale, que représente-t-il en réalité ? Les écailles sont tombées. Une nouvelle ère s’annonce à Agboville et les valeurs de justice, de paix et de cohésion sociale qui me sont chères seront bientôt une réalité tangible à Agboville et partout en Côte d’Ivoire «