Dans un pays où la vérité est le pilier de la justice, la presse se doit de jouer un rôle impartial. Malheureusement, la récente publication par un média de la place renommé pour sa crédibilité, semble s’égarer dans des allégations infondées, mettant en cause le Directeur Général du Budget et Comptes Publics (DGBFIP).
Depuis son entrée en fonction, le DGBFIP a déployé des efforts considérables dans la vérification des chantiers financés par l’État. Malgré cela, des confrères semblent manquer de profondeur dans leur traitement de l’information.
Il est crucial de rappeler que l’erreur peut survenir, mais la vérité doit toujours prévaloir. Le professionnalisme exige de mettre en lumière les textes et lois régissant les missions du DGBFIP, tels que le décret 0056 et le décret de réorganisation de 2020.
L’article 21 du décret 0056 spécifie clairement les responsabilités du Service Exécution des Dépenses d’Investissement, incluant la centralisation des ordonnancements, le contrôle des dépenses, et le suivi du budget investissement. De même, l’article 66 détaille les missions de la Direction du Contrôle du Service Fait et de l’exécution des Marchés.
Le décret fusionnant la DGCRCP et la DGB, créant la DGBFIP, confirme ces dispositions à l’article 25, assignant au Service des Vérifications des Dépenses d’Investissements la responsabilité de vérifier la réalité des dépenses exécutées.
Ces éléments juridiques confèrent au DGBFIP le droit d’agir efficacement sur les chantiers financés par l’État, réfutant ainsi toute accusation sans fondement. Dans le souci de préserver l’intégrité des nobles missions de la presse, l’accent doit être mis sur une analyse approfondie et éclairante de l’information, au service de la vérité et de la justice.